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mercredi 6 juin 2012

Santé et Nutrition N°1191 5e année




« Augustin de Livois, le président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, essaye actuellement de réunir un million de signatures pour obliger Bruxelles à ré-examiner un texte de loi sur les compléments alimentaires naturels, qui risque d'entraîner la disparition de milliers de petits producteurs.
Comme vous le savez peut-être, nous soutenons activement cette association (une partie des abonnements payants que nous recevons lui est reversée), et j'ai bien sûr signé sa pétition.
Peut-être souhaitez-vous vous associer à notre démarche, si ce n'est déjà fait ?
Voici un lien vers une présentation des enjeux : présentation pétition.
Il s'agit d'un cas d'école où de bonnes intentions déclenchent une catastrophe en chaîne.
A l'origine, Bruxelles prétendait créer de nouvelles normes sur les compléments alimentaires pour « harmoniser la concurrence » et, bien entendu, « protéger le consommateur ». Quoi de plus louable ?
Mais, sous l'influence continuelle du lobbying de l'agro et de la pharma-industrie, on aboutit à un texte de loi qui n'est – passez-moi l'expression - qu'une boule puante lancée dans le jardin des petits producteurs.
Il s'agit en effet de leur interdire de faire figurer toute explication claire sur l'utilité possible de leurs produits pour la santé. En langage bureaucratique, cela s'appelle des « allégations thérapeutiques ».
Les experts de Bruxelles (EFSA, European Food Safety Agency) se sont arrogé le privilège incroyable d'être les seuls, dans toute l'Europe à avoir le droit de dire à quoi sert tel ou tel produit, et à donner l'autorisation aux producteurs de le faire figurer sur l'emballage.
Le problème est que, bien entendu, ils n'y connaissent rien. Ils exigent donc que les producteurs leur fournissent des dossiers complets, avec des études cliniques, sur chaque ingrédient, comme s'il s'agissait de médicaments. Et depuis 4 ans, 95 % des dossiers ont été rejetés. C'est autant de dépenses et de temps perdu pour les producteurs qui ont essayé de se plier à leurs exigences.
C'est un abus de pouvoir caractérisé. Et les conséquences pour nous tous sont claires : il va devenir de plus en plus difficile, et surtout de plus en plus cher, de se procurer des compléments alimentaires naturels de haute qualité, le coût de ces nouvelles normes étant forcément répercuté sur le consommateur final, c'est-à-dire sur vous et moi.
Alors merci de soutenir la courageuse démarche d'Augustin. Regardez sa présentation en cliquant ici puis signez sa pétition. Et surtout, transmettez son appel à signature à tout votre entourage. »
 Jean Vinatier
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Internautes : Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Angola, Arabie Saoudite, Argentine, Arménie, Australie, Bahamas, Bangladesh, Biélorussie, Bénin, Bolivie, Bosnie Herzégovine, Brésil, Burkina Faso, Cambodge, Cameroun, Canada, Chili, Chine (+Hongkong & Macao), Chypre, Colombie, Congo-Kinshasa, Corée du Sud, Costa-Rica, Côte d’Ivoire, Djibouti, EAU, Egypte, Etats-Unis (30 Etats & Puerto Rico), Equateur, Ethiopie, Ghana, Gabon, Gambie, Géorgie, Guatemala, Guinée, Guinée, Haïti, Honduras, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Islande, Israël, Jamaïque, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Laos, Liban, Libye, Liechtenstein, Macédoine, Madagascar, Malaisie, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mauritanie, Mexique, Moldavie, Monaco, Népal, Niger, Nigeria, Norvège, Nouvelle Zélande, Oman, Ouzbékistan, Palestine, Pakistan, Pérou, Philippines, Qatar, République Centrafricaine, République Dominicaine, Russie, Rwanda, San Salvador, Saint-Marin, Sénégal, Serbie, Singapour, Slovénie, Somalie, Suisse, Syrie, Taiwan, Thaïlande, Togo, Tunisie, Turquie, Union européenne (27 dont France + DOM-TOM, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Saint-Pierre–Et-Miquelon), Ukraine, Uruguay, Vatican, Venezuela, Vietnam, Yémen

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