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mardi 31 mars 2020

« Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement par Gaston Montéhus » N°4863 14e année

Avec Aristide Bruant, Gaston Montéhus (1872-1952) est le plus célèbre des chansonniers français. Lénine le chantonnait ! Il est l’auteur de La grève des mères, Les Mains Blanches, de L’impôt sur les feignants, et le fameux « Vas-Y Léon » de 1936. L’interprète était Marc Ogeret.
 Bien des chansons ont encore un parfum d’actualité…

 1912 : « Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement » 
« Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Ah vraiment c'qu'on d'la veine en France
Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
 Nous sommes bien tranquilles pour notre argent
 Voyons donc pour les congrégations
 Ceux qui on fait la liquidation Ils n'ont volé que six petits millions
Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement!

 Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Ah vraiment c'qu'on d'la veine en France
Aussi l'travailleur est très content
Voyez donc les r'traites qu'on vient d'voter
 Trente sous par jour, quelle fraternité Et 5000 pour les anciens députés
Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement!

Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Ah vraiment c'qu'on d'la veine en France
 Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Ici tout se fait très loyalement
 Voyez donc pour les élections
Jamais de vol, jamais de corruption
Il n'y a qu'les urnes qui sont à double fond
Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement!

Y' qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
 Ah vraiment c'qu'on d'la veine en France
Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
C'est un vrai bonheur pour les indigents
Voyez donc pour les inondations Ce que l'état a reçu de millions
Mais on oublie d'faire la distribution
Y' qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement !

Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Ah vraiment c'qu'on d'la veine en France
 Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement
Aussi les agents suivent le mouvement Ils ont tellement l'idée de l'honneur
 Qu'ils ne veulent pas toucher un voleur Mais le premier mai assomment les travailleurs
 Y'a qu'des honnêtes gens dans l'gouvernement! »

 L’impôt sur les feignants : Les mains blanches: Vas-y Léon:

Coronavirus « cette pandémie vue depuis 2021 par Dirtybiology » N°4862 14e année

Jean Vinatier
Seriatim 2020

« Covid-19, Chloroquine et crise globale par Aurélien Barreau »N°4861 14e année

23 mars 2020 Jean Vinatier 
Seriatim 2020

lundi 30 mars 2020

Mondialisation, mondialisme : réflexions? N°4860 14e année


Arnaud Montebourg affirme dans les colonnes du Figaro que « la mondialisation est terminée »…Il est sans cesse confondu mondialisation et mondialisme qui n’ont en commun que la scène du monde avec un sens tout à fait opposé.
La mondialisation est inhérente à l’homme depuis qu’il s’est mis à marcher, depuis qu’il a quitté l’Afrique pour se rependre sur les cinq continents et que les progrès, qu’il fit à travers les siècles, contribuèrent à augmenter les idées, les savoirs, les échanges, les routes, les transports sans discontinuer jusqu’à maintenant.
Le mondialisme ou globalisme serait une idéologie qui viserait à réduire, les Etats, les structures collectives nationales, à effondrer les nations (frontière), à conduire les populations vers la servitude volontaire au profit d’une aristocratie planétaire qui régirait les hommes depuis une sorte d’Elysium ou d’empyrée.
Vous auriez donc d’un côté, un progrès naturel, de l’autre un projet totalitaire.
Le mondialisme serait mortifère, il combattrait et dénaturerait l’homme dans ce qu’il a de plus puissant et naturel, sa marche, au sens physique, au sens intellectuel. Sous couvert de données démographiques, d’encourager les transhumances permanentes de masses humaines grossissantes, le mondialiste instillerait dans chacun d’entre nous un virus ravageur en favorisant les migrations toujours sous le couvert d’un drame dont il serait parfois ou l’acteur principal ou qu’il utiliserait (guerre, famine…etc) et ce au nom de la victimisation. Pour le mondialiste, l’être-victime serait capital.
Le mondialiste entendrait se confondre dans la mondialisation tel un coucou s’installant dans un nid qui n’est pas le sien. Il avancerait masqué, caché, épouserait toutes les causes, surtout celles humanitaires où sont les VICTIMES. L’écologie le servirait aussi parce qu’il lui permettrait d’imposer un ordre sain, celui de la pureté : après tout, qui n’a pas envie d’une eau plus claire, d’une poule meilleure, d’un air plus léger ?
Le mondialiste se déguiserait parfois en libéral économique. Le libéralisme, loin d’être uniforme, revêt des aspects divers, différents selon les leçons apprises des idées libérales nées en Angleterre en Europe hanséatique puis aux Etats-Unis. Etre libéral ne signifie pas que l’on soit mondialiste, de même pour le capitaliste. On le voit, aujourd’hui, dans le combat aux Etats-Unis contre Donald Trump et l’on devrait aussi le relever dans l’Union européenne.
Mais d’où viendrait ce mondialisme sans théoricien fondateur ?
Le mondialisme se réduirait-il à une société secrète dotée de gigantesques pouvoirs occultes où, comme dans James Bonds, un spectre caresserait un chat blanc en délivrant ses instructions ?
Historiquement, il a toujours existé des cercles, des confréries et des lieux secrets où se réunissaient des hommes pour convenir au mieux de leurs idées, de leurs intérêts. Prétendre gouverner le monde ne signifie pas qu’on le gouverne mais rien ne leur interdit de faire croire qu’ils ont les manettes bien entre leurs mains. Évidemment comme tout repose sur des réunions hors du bruit de la ville tout un imaginaire se développe (Bidelberg, FED….etc.). Les choses sont plus compliquées et ambiguës.
Les GAFA dont Facebook ont voulu instituer leur propre monnaie : un fiasco complet ! Les GAFA, de même que des multinationales ont pesé de tout leur poids pour qu’à chaque traité commercial de libre-échange, une juridiction particulière, qui échapperait au champ des Etats et des institutions juridictionnelles internationales, apparaisse pour régler leurs litiges. Historiquement, cela a été, toute proportion gardée, pour des confréries et des guildes marchandes. D’un côté, il y a une logique humaine à ce qu’un groupe d’intérêt essaie de se promouvoir, de même qu’il y a une logique d’Etat via la Loi.
Le mondialisme politiquement, idéologiquement pourrait se trouver par exemple, chez  Anacharsis Cloots (République universelle) ou Léon Trotski (la révolution mondiale) : englober tous les hommes ou dans un même régime, ou dans une seule action. De même le  nazisme serait mondialiste : un monde nouveau et monde ancien recréé le tout sur fond d’écologie et d’un amour des animaux (Goering avait interdit la vivisection animale mais pas humaine) et de douteuses mythologies germano-tibéto-scandinaves.
Le mondialisme existerait-il ou ne serait-il que le fruit d’un imaginaire débridé ? L’homme vit dans son monde au point d’avoir parfois un raisonnement fétiche au-dessus duquel planerait « la main invisible » La mondialisation dans laquelle nous sommes tous génère un immense ressenti où, à la fois, nous saisissons bien l’immédiat tout en pressentant une  dépossession.
Il existe bien des acteurs économiques, financiers qui souhaiteraient irriguer le monde selon leurs vues et voudraient d’autant mieux contrôler le débit de l’eau qu’ils savent que la mondialisation, c’est-à-dire l’homme libre dans sa marche, opposera toujours une résistance à la servitude totale.
Aussi dire que « la mondialisation est terminée » m’apparaît comme un non-sens, cela tuerait l’Homme. La mondialisation continuera par d’autres chemins. Quant au mondialisme ou aux idées mondialistes, elles sont, un peu comme ses oiseaux qui volent au-dessus des têtes de l’homme perdu dans le désert, s’il le traverse, ils disparaitront, s’il succombe, ils s’en repaitront.

Jean Vinatier
Seriatim 2020


Note :

Une précision concernant les religions :
1-      s’agissant de l’Eglise de Rome, il n’est pas exact d’affirmer qu’Elle serait mondialiste, elle est Universelle ou mondialité. Que certains veuillent l’irriguer vers le mondialisme, c’est vrai : on l’a vu avec l’abdication forcée de Benoit XVI au profit de François (qui refuse de porter un numéro, c’est assez symbolique), je doute que leurs auteurs y parviennent.
2-      S’agissant de l’islam, l’Oumma étymologiquement se dissocie du mondialisme : elle fait référence à la communauté au sens de maison où l’on est né, où l’on vit. Ainsi l’Oumma serait assez proche de l’Heimat allemand. Que des panislamistes, des djihadistes et autres veuillent s’en servir pour leurs causes, de même des Etats comme l’Arabie Saoudite, est visible. Je rappelle, toujours que les musulmans ne comptent qu’autour de 20% d’arabes…
3-      S’agissant des juifs : Parce que certains agirent depuis très longtemps dans la banque et l’usure, ils sont soupçonnés de toutes machinations, de tenir entre leurs « doigts crochus » les 5 continents et par conséquent d’être mondialistes : c’est évidemment faux.
4-       S’agissant des Hindous sans fondateur, ni organisation cléricale, des bouddhistes, des taoïsmes, des confucianistes, des animistes…etc. point de mondialisme là-dedans.

Nation sans masque, gouvernement démasqué N°4859 14e année


Ce lundi marque pour moi la fin, à moins d’un retour de bâton, de mon combat contre le coronavirus ou d’un forme de coronavirus : 15 jours qui m’épuisèrent bien (toux, fièvre, bouche pâteuse et sèche, courbatures très puissantes, alternance de chaud/froid). Je n’avais sous la main que la vitamine C dissoute dans chaque bouteille que j’utilisais, de l’iode, du sélénium, du magnésium et du thym que je prenais en infusion, parfois un grog au rhum blanc ou au whisky.
A lire les mots généraux dans les médias : le gouvernement n’est en rien coupable, n’a commis, aucune faute, tout le monde a été à la hauteur. Avant même la fin de la pandémie se met en place la propagande : écraser le mental révolté des Français. La consigne des conjurés qui firent Macron est de le sauver et de nous réduire encore davantage. Du côté de l’ennemi, le combat n’est en rien ralenti ou revu avec une dose homéopathique d’humanité : les Français mécontents et sans doute plus doivent subir l’incurie, l’irresponsabilité de cet exécutif. A 20H, les applaudissements, presque au quotidien, de parisiens sont le fait d’une majorité énorme de macroniens ou de pro-Hidalgo (c’est la même chose) tout à fait enthousiastes à l’idée de soutenir plus fortement demain le successeur de François Hollande et Anne Hidalgo, la cinglée des bobos. Ils ont peur, c’est tout. Un mois plus tôt, ils se gaussaient du personnel de santé tabassé par les CRS, des pompiers volontaires matraqués, des Gilets jaunes mutilés : ils en faisaient des gorges chaudes !
Pendant ce temps-là, l’effondrement du secteur hospitalier public est patent. Il a suffi de 15 000 demandes d’hospitalisation pour que tout craque. Quinze mille lits répartis sur l’ensemble du territoire, ce n’est pas énorme et pourtant, tous les médecins ont tiré la sonnette d’alarme (ils le faisaient avant mais il fallait leur disait-on réduire les coûts) : l’accumulation de toutes les fatigues des mois précédents a été comme une digue qui céda à la première vague pandémique. Depuis toute la santé publique est mise à vif. Bien évidemment, l’exécutif sort de sa poche un magique plan du nouvel hôpital : qui croira à cette fadaise technocratique, financée comment ?
Détail supplémentaire, l’armée n’a été capable que de bâtir un seul hôpital militaire de campagne de trente lits en 5 jours alors que 4 heures suffisent : cela en dit long sur le délabrement. Le remarquable service de Santé des armée est, lui aussi, victime des économies des technocrates mondialistes : voilà où aboutit la fin de la souveraineté!
A partir de la propagande bien relayée, par L’Opinion, le Figaro, Libération, Le Nouvel-Obs, Les Echos, la Tribune, BFM, Cnews, LCI, France-info…etc, les Français oseront-ils, malgré, les astuces de communication gouvernementale et des journalistes flagorneurs voir le désastre dans les EHPAD, le nombre exact, de victimes dans les hôpitaux, des gens morts chez eux. Le lendemain de la pandémie, sera-t-il pour le gouvernement une sortie dangereuse socialement et politiquement ?  Aura-t-on l’annulation du premier tour des municipales et le report à l’automne du scrutin municipal ? Cette demande politique amplement justifiée (maires et accesseurs morts suite au premier tour) irait, bien au-delà et c’est ce que craint le gouvernement qui empêchera toute Cour de justice de la République (Edouard Philippe, Agnès Buzyn et son successeur, Castaner), toute justice ordinaire pour les hauts fonctionnaires, conseillers de l’Elysée de Matignon, des ministères et élus politiques. Les médias et la télévision, surtout, joueront un rôle redoutable : on sait à qui ils appartiennent ? Les réseaux sociaux seront un contrepoids insuffisant que seule une prise de conscience nationale, par le biais d’un arrêt volontaire du pays, pourrait mettre à genoux celles et ceux qui fautèrent. Très honnêtement, entre partir en vacances ou abattre un exécutif, que choisiront les Français ? Nul doute que le gouvernement plaidera pour la nécessaire détente des « Français qui souffrirent tant » tout en appelant à la solidarité économique et en trouvant bien sûr ici et là des « héros » pour occuper les esprits sans oublier un défilé « militaire » point d’orgue ou firmament de la propagande  présidentielle….
Cela dit, la Bastille s’est rendue le 14 juillet 1789, Charles X est tombé un 30 juillet 1830, le Second Empire un 4 septembre 1870 et la Troisième République finit le 10 juillet 1940….alors !


Jean Vinatier
Seriatim 2020

vendredi 27 mars 2020

Coronavirus « Paul Jorion et Gaël Giraud sur les conséquences économique de l'épidémie » N°4857 14e année

Pascal Froissart et Joël Blanchard sur les conséquences de l’épidémie Jean Vinatier
Seriatim 2020

« Erdogan et les migrants par Olivier Delorme » N°4856 14e année

Olivier Delorme : Erdogan, les "migrants" et la Grèce partie 1 Olivier Delorme : Erdogan, les "migrants" et la Grèce partie 2 Jean Vinatier 
Seriatim 2020

mercredi 25 mars 2020

Le monde d’après ? N°4855 14e année


C’est la semaine de tous les milliards via les plans de relance, les planches à billets des banques centrales. Les bourses font des bons en avant dont Wall Street qui applaudit l’accord entre le Congrès et la Maison Blanche : 2000 milliards de dollars et aussi au discours présidentiel qui affirme que le peuple américain ne sera jamais confiné réactivant le vieux mythe américain du pionnier bravant les calamités. En amont, Donald Trump met le peuple américain en ordre de bataille.
Cette valse des milliards est sympathique à la condition que les hommes puissent aller et venir sans quoi vous pourrez entasser tous les milliards monétaires, ils ne serviront à rien sauf à prendre la poussière.
On est dans un moment de grand travail psychologique, où l’on cherche à conjurer avec les moyens du bord les conséquences d’un grain de sable coronavirus surgit en Chine là où sont les centres de production, c’est tout et cela suffit à semer le désordre sur tous les continents. Bien évidemment si le coronavirus était né au Kazakhstan, le reste du monde serait infiniment moins confiné.
L’originalité de ce virus né au Wuhan (c’est important, on ne connait toujours pas le patient 0) l’est moins par sa létalité que par le prétexte qu’il sert  à nettoyer ou apurer très légèrement les excès des « marchés », à tester la capacité à confiner des populations, en France à prendre des dispositions d’urgence sanitaire où il s’agit plus de rogner et de visser les acquis sociaux au nom de la « patrie » que de remettre en cause les politiques de santé publique : le MEDEF est prioritaire à l’hôpital. Même si on entend quelques appels à la relocalisation, ils sont dans la circonstance, le grand patronat français étant l’un des plus bornés au monde et le moins patriote! Un tout petit bémol : Bernard Arnault a été le seul milliardaire français à offrir des masques aux Français les autres : Bolloré, Pinault, Mulliez, Bouygues….etc silence radio tous claquemurés !( certains agissent dans la discrétion )
On entend ici et là que le monde ne serait plus le même après, que nos croyances les plus anciennes sont remises en cause ou comment allons surmonter cette épreuve, sans oublier les résiliences servies à tous les menus. Bla-bla-bla…
A moins d’événements soudains, la seule chanson que l’on entendra une fois la pandémie passée : produire, ramener les troupeaux de touristes, consommer deux fois plus, adieu réchauffement climatique ? Questions écologiques ? Vite, vite amasser le pognon, refaire des marges, de l’avidité à tous les étages, pleurer de joie à regarder les plages croulantes sous les fesses humaines bref une frénésie pathologique bien davantage que des réflexions, des intelligences et des suggestions.
Un journaliste s’amuse à noter les conséquences positives du coronavirus : moins de pollution, ciel plus clair, l’eau de Venise moins trouble, villes apaisées. Cela ne durera pas, tout redeviendra sale à la vitesse grand V. On devrait entendre les écolos sur ces améliorations mais ils se taisent : étonnant ?
Pourquoi le monde ne sera-t-il pas différent ? Tout simplement parce que le nombre de victimes sera trop peu élevée. Quand la grippe espagnole tue, au lendemain de l’armistice de novembre 1918, autour de 40 millions de personnes, principalement en Europe : des usines entières furent sans ouvriers, des villages vidées, des provinces anémiées. L’absence d’une politique générale de santé commune qui tiendrait compte des conséquences économiques ne put être mise en place car nul n’y songeait. Résultat : une montée générale des aigreurs et des revanches, un changement radical du cours politique de l’Europe.
Combien faudrait-il de victimes absolues (maladie, guerre) pour contraindre à une refonte totale des modes économiques sans remettre en cause le minima de populations dociles et qualifiées pour assurer les plus-values: un demi-milliard d’hommes sur l’ensemble des continents ? Et encore !
Aujourd’hui avec quelques milliers de victimes, je crains plus une accélération un peu comme on force un cheval emballé. En ce jour, en dépit des épreuves pour les soignants et les malades, l’humanité ne connait ni un drame, ni une tragédie, tout juste une perturbation. A suivre.

Jean Vinatier
Seriatim 2020