Info

Nouvelle adresse Seriatim
@seriatimfr
jeanvin22@gmail.com



dimanche 1 décembre 2013

«La France en Europe. Comment passer de l'effacement au leadership? » par Jean-Paul Baquiast N°1539 6e année

« La revue économique La Synthèse on line vient de publier un article intitulé « A quoi pourrait ressembler la zone Euro à la fin de la crise? » Cet article est désolant. Nous ne nous poserons pas la question de savoir si son auteur, le bien connu et estimé Patrick Artus, est de gauche ou de droite, nous nous bornerons à constater que son diagnostic définit un avenir proche de l'encéphalogramme plat. Il prévoit certes que la zone euro pourrait résister à de nouvelles crises de paiement du type de celle qui avait menacé la Grèce voici quelques mois, mais, pendant les années suivantes, elle ne sortirait pas du sous-investissement, de l'absence de programmes mobilisateurs, notamment dans les secteurs technologiques, et plus généralement d'un manque de compétitivité face aux grandes puissances mondiales. Même si l'Allemagne s'en tirait un peu mieux, elle ne suffirait pas à impulser à l'ensemble des Etats européens le dynamisme global permettant de figurer encore dans la prochaine décennie parmi ces puissances. La France en particulier continuerait à se traîner en bas de l'échelle de la stagnation. (Voir ceci.)
Le diagnostic paraît fondé. Mais il appelle un sentiment de révolte. Les pays de la zone euro en général, la France pour ce qui la concerne, qui disposent encore de grandes ressources humaines, industrielles et technologiques, ne vont-elles rien faire pour sortir du carcan imposé par les Institutions européennes (Bruxelles) et à travers elles, par ceux qui ne veulent aucun bien à l'Europe, à commencer par les Etats-Unis d'Amérique? A cette question, une réponse que l'on qualifiera par commodité de « populisme » paraît s'imposer: il faut sortir de l'Union européenne, pour reprendre une certaine capacité d'initiative. Mais il s'agit d'une fausse solution. Nous ne prendrons pas ici de temps pour expliquer une nouvelle fois ce que tous les gens informés savent parfaitement: en dehors de l'Union Européenne, la France où les pays qui suivraient cet exemple, ne pèseraient pas grand chose. Si l'Islande peut affronter le monde à elle seule, la France, du fait même de ses nombreux atouts, attirant les convoitises, ne pourrait pas survivre longtemps sans la collaboration des autres puissances européennes, comme d'ailleurs de Bruxelles. Mais alors que faire? »
La suite ci-dessous :
http://www.dedefensa.org/article-la_france_en_europe_comment_passer_de_l_effacement_au_leadership_27_11_2013.html

 
Jean Vinatier
SERIATIM 2013

Internautes : Afrique du Sud, Albanie, Algérie, Angola, Arabie Saoudite, Argentine, Arménie, Australie, Bahamas, Bangladesh, Biélorussie, Bénin, Bolivie, Bosnie Herzégovine, Brésil, Burkina Faso, Cambodge, Cameroun, Canada, Chili, Chine (+Hongkong & Macao), Chypre, Colombie, Congo-Kinshasa, Corée du Sud, Costa-Rica, Côte d’Ivoire, Djibouti, EAU, Egypte, Etats-Unis (30 Etats & Puerto Rico), Equateur, Ethiopie, Ghana, Gabon, Gambie, Géorgie, Guatemala, Guinée, Guinée, Haïti, Honduras, Inde, Indonésie, Irak, Iran, Islande, Israël, Jamaïque, Jordanie, Kazakhstan, Kenya, Laos, Liban, Libye, Liechtenstein, Macédoine, Madagascar, Malaisie, Malawi, Mali, Maurice, Maroc, Mauritanie, Mexique, Moldavie, Monaco, Népal, Niger, Nigeria, Norvège, Nouvelle Zélande, Oman, Ouzbékistan, Palestine, Pakistan, Pérou, Philippines, Qatar, République Centrafricaine, République Dominicaine, Russie, Rwanda, San Salvador, Saint-Marin, Sénégal, Serbie, Singapour, Slovénie, Somalie, Suisse, Syrie, Taiwan, Thaïlande, Togo, Tunisie, Turquie, Union européenne (27 dont France + DOM-TOM, Nouvelle-Calédonie, Polynésie, Saint-Pierre–et-Miquelon), Ukraine, Uruguay, Vatican, Venezuela, Vietnam, Yémen

 

Aucun commentaire: