Le célèbre journaliste d’Asia Times explique la mise à l’écart de Dilma Roussef.
Très justement Pépé Escobar rappelle la toute-puissance de quelques dizaines de familles brésiliennes qui se considèrent propriétaires de ce pays : ce sont elles qui abattirent l’empereur Pierre II coupable d’abolir l’esclavage, ce sont leurs descendants qui continuent à agir de cette sorte, s’amusant presque d’agiter des députés et sénateurs plus corrompus les uns que les autres qui, parce que corrompus en arrivent à n’avoir ni règle, ni morale. « L’équipe gouvernementale de Michel Temer (tous des Blancs, bien propres sur eux ; aucune tache) n’a que 30% de membres poursuivis pour corruption. Partageux, 70% des nouveaux ministres possèdent 250.000 hectares de terre, gagnées à la sueur de leur front blanc, et 33% sont maîtres de divers médias afin d’assurer la liberté d’informer.
Quant au nouveau président, Wikileaks prouve qu’il fut « un informateur des services d’intelligence des Etats-Unis ». Il fut... On fait des heures sup comme l’on peut... On comprend dès lors qu’il ne regarde pas trop l’état de ses dents. »1
Note :1-http://www.legrandsoir.info/le-bresil-temerise-et-enfin-libre.html
Sources :
http://lesakerfrancophone.fr/destitution-de-la-presidente-bresilienne-dilma-rousseff-entretien-avec-pepe-escobar http://www.dedefensa.org/article/pepe-et-dilma
Jean Vinatier
Seriatim 2016
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