[….]
En ces heures
douloureuses, je pense aux malheureux […], qui, dans un dénuement extrême,
sillonnent nos routes. Je leur exprime ma compassion et ma sollicitude. C'est
le cœur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser le combat.
Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec nous, entre hommes, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités.
Que tous les Grecs se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie. »1
Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec nous, entre hommes, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités.
Que tous les Grecs se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie. »1
Au moins Ionnis Metexas, homme de
droite et dictateur avait-il su dire Non aux Italiens de même qu’aux Nazis si
la mort ne l’avait pas emporté fin janvier 1941….
Note :
1-Allocution du maréchal Pétain
le 17 juin 1940 (extraits modifiés)
Sources :
Avec ou sans Grèce quels
scénarios pour l’avenir de l’Europe :
La défaite de la Grèce, la
défaite de l’Europe par Romaric Godin :
Capitulation par Jacques sapir :
L’Eurogroupe met à mort la
démocratie grecque, par Roberto Boulant :
Jean Vinatier
SERIATIM 2015
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